Je persiste et je signe… Je m’appelle Jacques Brel

CONCEPTION | CRÉATION ET MISE EN SCÈNE : VALÉRIE ANTONIJEVICH à partir des textes de Jacques Brel

Tout public | Durée : 1h35

Ce spectacle est un conte dont les dialogues ont été entièrement conçus à partir des textes, des interviews et des scenarii de Jacques Brel. Reprendre ses chansons et les mettre en scène n’aurait pu être que de l’illustration ou de la digression, elles vibrent d’elles-mêmes tels des tableaux flamands.


SYNOPSIS

Je persiste et signe… Je m’appelle Jacques Brel est un conte dans lequel les grands thèmes de Brel deviennent des personnages à part entière… C’est ainsi que naissent Le Temps, la Mort, l’Amour, l’Enfance… Le spectacle que Valérie Antonijevich a imaginé raconte l’histoire d’un homme, Jacques, qui à travers l’âge adulte, poursuit ses rêves d’enfant. C’est une traversée. Une quête. Il cherche. Quoi ? Il ne sait pas au juste. Un coin de Far West, dit-il. Pourtant, au début de notre histoire, le “grand-néant-avec-du-vide-dedans” est son unique horizon, les deux pieds vissés dans la chape de l’immobilisme et de l’ennui. Jacques intègre le troupeau triste, poussiéreux, étriqué de ceux du renoncement, de ceux du “tiens-toi-là-bien-tranquille” orchestré par une grande bourgeoise, rectiligne, presque immobile, dédaigneuse avec parfois un brin d’ennui aux commissures des lèvres… “Le Temps”. Jacques refuse de signer son acte de mort au commencement de sa vie, il conspue l’endormissement, l’étirement nul et non avenu d’une vie vile, vide, vaseuse, « vississitudeuse ». La lutte s’engage entre Jacques et Le Temps.

ADAPTATION SCÉNIQUE

Jacques, du haut de son cheval à bascule, découvre le monde des adultes… Des hommes et des femmes désincarnés et engloutis dans un quotidien morne, écœurant de platitude. La peur et le renoncement ont grignoté leurs rêves, courbé leurs épaules, happé leur dignité. La seule pensée de s’enterrer dans cet immobilisme le terrifie. S’échapper devient l’unique obsession. Vivre. Absolument. C’est le départ pour la grande aventure. Le grand saut dans le vide. C’est le temps de l’engouement, de la gourmandise, de l’épopée, du défi, de la bravade. Jacques s’abandonne, s’absorbe, se donne jusqu’à la rage, jusqu’à l’épuisement… Tenter d’assouvir ses rêves d’enfant !

DISTRIBUTION

Conception, écriture et mise en scène | Valérie Antonijevich
Avec | Virginie Arioli, Julien Barbier, Muriel Bonnet, Karen Brient, Marie Burel, Lionel Cécilio, Édith Clément, Mathilde Colmant, Fabrice Donnadieu, Amandine Faure, Éric Frade, Céline Gervais, Élise Hobbé, Christelle Jacquaz, Jinho Kim, Romain Landry, Lionel Latapie, Ludivine Lebec, Marie Loisel, Olivier Luginbuhl, Julie Maitre, Benjamin Mayet, Axel Mayoud, Sylvain Nova, Laura Ouakmine, Yannick Petit-Jean, Jessica Ridder, Benjamin Sarfati, Audrey Vandomme, Julien Villacampa, Aude Walker, Agnès Wuyam
Chorégraphies | Gwenaëlle Rinaldi
Scénographie | Valérie Antonijevich
Création lumière | Antonio de Carvalho

SOUTIENS

Production : Les Enfants Terribles

AUTOUR DU SPECTACLE

Je persiste et signe… Je m’appelle Jacques Brel

 Les 34 comédiens

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DATES PASSÉES

2004

Les Enfants Terribles | Paris