
MISE EN SCÈNE : VALÉRIE ANTONIJEVICH
Tout public | 1h40
SYNOPSIS
Comédie grinçante sur un village quelque part en France qui vit le drame de la disparition d’une adolescente de 16 ans. Un soir, Michel Berthelot découvre qu’Adèle, sa fille, n’est pas rentrée. Un avis de recherche est déposé dans les commerces du village. Alors, petit à petit les rumeurs se répandent, chacun y va de sa suspicion. Qui pourrait être le coupable ? Les langues se délient ; c’est l’occasion de sortir les secrets, de régler les comptes… Il s’avèrera qu’Adèle avait fugué.
ADAPTATION SCÉNIQUE
Valérie Antonijevich reconstitue la place du village avec la boucherie trônant en son centre. Au lointain, alignés, des petits espaces d’un mètre cinquante sur un mètre cinquante, rappellent les zones pavillonnaires à l’entrée des villages et des petites villes : cette France périphérique. La circulation devient un jeu de piste où chacun s’observe, s’épie, se juge, se calomnie. L’exiguïté des espaces conduit le jeu vers des situations cocasses et burlesques. Valérie Antonijevich choisit une esthétique éloignée du réalisme tout en s’en inspirant pour créer le décalage de l’écriture de Rémi De Vos : ce n’est pas tant le fait divers qui est en jeu ici que les comportements humains poussés jusqu’à une certaine caricature.
DISTRIBUTION
Mise en scène | Valérie Antonijevich
Assistanat | Gérard Peruilhe
Avec | Jean-Pierre Alexandre, Christophe Apoi, Guilaine Coste, Fabien de Savigny, Séverine Diésel, Stéphane Diesel, Nadira Es-Sebbani, Dominique Grandisson, Gaëtan Guillemin, André Le Hen, Gérard Peruilhe, Marie-Hélène Pontac, Jean-Jacques Serror, Bernard Singer, Karine Tan Luong Ann, Xavier Trautmann, Emmanuelle Zinzuela
Scénographie | Valérie Antonijevich
Création décors | Bernard Singer et Christophe Apoi
Création lumière | Jean-Pierre Alexandre
SOUTIENS
Production : Astrolabe
Coproduction : Astcaf Paris, FNCTA
Le Ravissement d’Adèle est édité aux Éditions Actes Sud
AUTOUR DU SPECTACLE
CONTACT

DATES PASSÉES
2015 et 2016
Centre culturel des Finances | Paris
Crédit photos | Christophe Willem